“Les organismes vivant et les amas incomplet dans leur réplication évoluent toujours en société ou la monnaie induite se traduit naturellement par deux phénomènes, l’échange de motif où l’échange d’énergie. Cette mixture est très résumé par la Botanie pour la classification et la finance des marchés libres et arbitrables. Toutes ces études ne font que démontrer la convergence inéluctable en une organisation à plateaux et pyramides. Les trajet entre chaque amas pyramidale est optimisé par la croissance de type mycélium de branche. De manière quantitative on peut décrire le mycélium comme l’ensemble topologique des variables aléatoires filtrés dans l’ensemble de dimension N-1 des espaces topologiques de dimension N coniques”…Daniel BOUTRIN, Induced Finance, 2007, Banque de France
Finance et économie induite¶
Prenons au hasard plusieurs individus de n’importe quel espèces mais dont la consommation est assuré par un quanta d’énergie et le chemin pour y arriver un autre quanta d’’énergie. Toute prédation réussie aura pour conséquence la réalisation d’un amas supérieur en énergie et d’une déplétion externe aux abords.. Les frontières d’accumulation du prédateur réalise une boule topologique contenant toutes autres frontières des victimes. Le prédateur ne reste prédateur que si et seulement il y a orthogonalisation de son stockage ( inaccessibilité ). Créant de facto un dimension supérieur de sa boule topologique. Dans un plan dit économique on observera donc une image de pyramides ou cônes sortant du plan et représentant les succès de prédation et d’accumulation définitive. Entre chaque pyramides se propagent des tentatives aux réussites aléatoires de prédation et d’échange, on décrit ces événements comme des transactions marginales ou primaires à somme nulle. Aussi si z représente la hauteur des accumulations les transactions marginales se confondent en permanence à une prédation de hauteur quasi nulle. Les transactions partiellement unilatérales en revanche font s’accumuler en largeur et en hauteur des amas non accessible de transactions fructueuses. En largeur elle génère des opportunités de chemin qui aux atours sont les plus profitables et on démontre que les transactions fructueuses diminue en ½r²h, ou r est la distance de l’épicentre de stockage inaccessible aux tradeurs et h la hauteur maximale représentant le maximum des accumulations. Dit autrement, Louis BACHELIER décrit un majorant des marchés financiers, la loi des probabilités et la modélisation de l’économie induite y introduit un minorant.
Une des premières problématique des banques et des assurances et d’éviter d’être prédatrice entre elle. Les banques prêtes sur la base de la confiance d’un engagement ( Contrat de sang, Usure, Service par coupon, Observabilité et Vision à long terme ) et les assurances sur la base démographique ( Espérance de vie moyenne des assurés / Espérance de coût du risque couvert ).
Il convient donc de s’assurer que dans une transaction chaque partie occupe son rôle très distinctement.
- Le financeur
- Le notaire
- Le juge
- Le collatéral
- Le projet
- Le résultat
- Le modéliste du résultat
- Le visionnaire
- L’assureur
- Le banquier
- Le fraudeur
- Le perdant
- Le gagnant
Pour réaliser une transaction parfaitement écrite et enregistrée il est donc nécessaire de marquer les données du début à la fin de l’échange. Ce qui démarre l’insoluble problème des systèmes de gestion des transactions.
On se propose tout d’abord de créer les conditions de modélisations du minorant économique des transactions tout en capturant le majorant de ces dernières.
Dans un système où la banque centrale émet C cash par seconde, et des organisations pyramidales P stockant S cash par seconde, le minimum d’opportunité est donc (C-S) / (P x ½ r² x H )
Mécanisme transactionnelle des échanges inter individuelles¶
Lorsque deux individus se présentent pour réaliser une interaction, la finance moderne ne conçoit cette opération que finalisé uniquement que si il existe une promesse d’échange de coupon à une date T.
Le coupon correspond à la réalisation, l’engagement lui résulte d’une modélisation unilatéral, bilatéral ou confié à un tiers de confiance de ce coupon non encore soldé, la maintenance de l’opération représente le coût de l’encours et la dispute jusqu’à règlement correspond à la comptabilité.
On remarque immédiatement qu’il existe une relation symétrique entre les parties que l’on nomme “Booking”.
Regardons le trajet opérationnel d’une transaction financière dans un plan économique sans concentration.
- Parties identifiées par un registre partagées P1 et P2
- Montant et type de calcul “Booké” dans un système exclusif
- Contre valorisation dans un compte agrégateur ( VOSTRO )
- Compte agréger contre valorisé dans la banque centrale 1 ( NOSTRO )
- Echange du différentiel entre banque central 2
- Compte agréger contre valorisé dans la banque centrale 2 ( NOSTRO )
- Contre valorisation dans un compte agrégateur ( VOSTRO 2 )
- Montant et type de calcul “Booké” dans un système exclusif
- Parties identifiées par un registre partagées P2 et P1
Maintenant évaluons la valeur financière d’un coupon de valeur paiement à terme entre les partie et , c’est à dire que le temps s’écoule entre 0 à et qu’il n’y a aucune création de monnaie.
Il devrait être donc évident que à ,
Hors, un des coupons représentent une activité contenant au moins une dépense énergétique et l’autre un revenu moyen de prêt alternatif avec des garanties de remboursement supérieur où simplifiées
L’usure où le risque de portage de la dette s’exprime comme une prime payable en avance, en continue, proportionnelle à une valeur corrélée, indexée sur une autre valeur ou fixé à terme. L’ensemble des méthodes d’indexation de ce sur-coupon représente la structuration du risque, la séquence d’enchainement des coupons formant alors un contrat financier d’échange de valeur.
- L’écriture comptable montre un mouvement de cash -C
- L’écriture bancaire montre un mouvement de cash -C à “date de valeur” ( ex : t=0+2jour)
- L’écriture comptable montre un en-cours au choix
- de cash où est le nombre d’amortissements entre 0 et T
- de créance à solder
- de à-nouveaux + ticket de Balance si sur plusieurs années
- Le calcul quotidien mesure l’écart d’opportunité moyen “expected gain”
- L’action de revente d’une dette ou de son rachat organise un second marché
- La digestion d’une dette est possible par fractionnement ou agglomération
- L’ingestion d’un bénéfice se fait en séparant la partie acquise de la partie à reverser
L’enchevêtrement des actions de contrôles, de réalisation des gains et pertes est peut-être à tord modéliser comme une variable aléatoire dont la distribution peut être approché sur des domaines de transition. Ce postulat très fort sous-entend que les prix même dans un marché parfait ne sont pas des chaînes markoviennes mais au contraire des variables parfaitement prédictible sur leur niveau stable et que seul les changements de régime sont les événements sélectifs d’une jungle dominé par la loi de la sélection naturelle.
Regardons différemment l’ensemble des interactions des agents financiers dans leur ensemble, dans un régime de fonctionnement stable, les acteurs agissent de manière récurrente et échange gain et perte sur des plans différents. Un acteur peut dépenser sans compter au bénéfice d’un accumulateur de gain car sa dépense réalise un gain physique non modélisable à terme par le refinancement des marchés. A l’échelle macroscopique, en considérant chaque type de transaction et de son financement on réalise très vite le schéma de fonctionnement suivant. Les banques sont des organismes financiers dont la forme optimale de fonctionnement est un actinomorphe le plus symétrique possible. Le nombre de branches est le facteur de croissance le plus efficace pour capturer les éléments exogènes, la circonférence permet la plus grande zone de capture et la densité sa force de prédation.
En Botanie, la même configuration de survie est observée chez les fleurs ( Actinomorphes ) et les unicellulaires comme les Radiolarians.

La construction d’une banque, sa croissance et sa survie trouve l’ensemble de ses solutions dans les méthodes de survie des actinomorphes face aux zygomorphes.
On poussera la méthodologie d’automatisé totalement le fonctionnement d’une banque sans intervention humaine au maximum du déterminisme. On s’écartera volontiers des approximations et des hypothèses propre aux fonctionnement des prédictions et des paris qui servent plus à créer une banque d’investissement et de structuration et dont le coeur de métier est avant la relation humaine et se rapproche plus de la médicine.
L’enjeux de redessinée les structures de fonctionnement d’un agent bancaire est avant devenu un enjeux important face à la montée des géants financiers qui surpassent la puissance financière des banques centrales. 1500 entreprises sont désormais plus puissantes qu’une banque centrale hors G20.
La survie de la centralisation de la gestion de la monnaie et de la politique monétaire ( sur-endettement, régulation, politique des travaux, investissement, lutte contre la fraude ) est en opposition avec la prédation à outrance des revenus de rentes appliquées aux acteurs financiers les plus petits et aux spéculateurs du jeu de la patate chaude.
Pour réduire le coût de la gestion de politique monétaire, il est important de noté comment les avancées technologique impacte la refonte des outils de transaction.
Le premier automate d’impression de monnaie ( roue et fonderie ) est très vite remplacé par un automate multi-fonctions qui sera capable de repousser plus loin les te
- Lack of mobility ( which is irrelevant for a company )
- Slow or diffused predation ( which is also rarely relevant except of huge opportunism )
- As such, only fat or full filled actor can seize opportunist
- low actor will have their drain only slightly increased by large predator ( nothing new )